Hello mes amouuurs! Alors j'avais une poésie à faire sur une cause universelle en phylo, et j'ai choisit le sida. J'ai eu 16/20 + une demande de lire mon texte à la radio, je vous tiendrai au courant.Le voila :Un soir de déchéance, dans une boite très prisée;
Habillée de paillette, talons hauts à mes pieds,
Finement maquillée, et cheveux long lâchés,
Je voulais m’échapper, passer une belle soirée.
Une clope à la main, je suis déjà très loin,
Un homme au doux parfum, reluque doucement mes seins
Je l’aperçois qui vient, avec un air malsain,
Il me dit comme un saint : Tu veux une coupe de vin ?
Alors je le regarde, mes ses yeux ne trompent pas,
Quand il ajoute « ça va ? », en fait il pense à
ça.Je me penche, soupir, le toise de haut en bas
Je l’ai bien vu venir, je ne serai pas l’appât.
Laissant l’homme écorché, je me suis retournée.
Une jeune femme bouleversée, au bar c’était nichée
Les verres elle enchaînait, ses yeux étaient brouillée
Orgueil et préjugé, despotiques pensées.
Jetant ma cigarette, laissant ma dignité
Dans un sourire aimable, je me suis rapprochée :
« Mais quelles sont triste dame, vos tourmentes malfamées? »
Elle arqua un sourcil, mais m’avoua sans ciller :
« Ma vie est un enfer,
Depuis cet homme en gris,
Aides moi je t’en supplie,
Il est question de ma vie .
Depuis toujours je l’aime,
Et ça je n’y peux rien,
Mes sentiments me perdent,
Dans cette histoire sans fin.
Combien de fois pour lui
Je me suis sacrifiée,
Combien de fois il m’a
Fait souffrir et pleurer.
Ses gestes et ses paroles
Me faisaient chavirer
Ses yeux et son sourire
Me faisaient défaillir
Il sais combien je l’aime,
Mais pourtant il ne fais rien ,
Il me laisse dans ma peine,
Sans remords, non sans rien.
Je ne sais pas quoi faire,
Je ne supporte plus,
De vivre dans la tristesse,
La haine et le mépris.
Mon cœur se brise déjà,
Sous mes larmes glacées,
Il m’a abandonnée,
Sans un seul regret.
Dans cette histoire le pire,
Est que je suis victime,
Amoureuse et naïve,
Il ma prise dans son fil
Indécise et fragile,
J’ai voulu espérer,
Mais pourtant j’ai plongé,
Triste réalité.
Une influence malsaine,
Le piège qui se referme,
Ses mains qui me transperce
Je me suis laissé faire.
Il en a profité,
Ce mot est dur et cru
Mais cette nuit est réel
Il voulait que mon cul.
Seulement il ma laissé,
Par son sang infecté,
Une mort prédestinée
Cadeau empoisonnée. »
Vous vous pensez à l’abri ?
Vous n’avez rien compris.Sortez couvert !