Chloé & Gabriel

Chloé observa un moment le visage pensif du jeune homme, une zone d'ombre planait au dessus de lui, elle aurai pu mettre sa main à coupé qu'il y avait quelque chose qui le tracassait, et elle comptait bien savoir ce que c'était. Réservé ou pas, ce n'était pas le problème, il était ensemble maintenant. Les solutions ils devraient les trouver à deux, c'était plus facile, et elle comptait bien l'aider de toutes les manières qu'elle pourrai. Gabriel semblait perdue dans ses pensée, même sa main serrai un peu moins sa taille, décidément il se passait vraiment quelque chose, et Chloé voulait absolument l'aider. La belle aurai pu faire semblant de ne rien voir, attendre que tout cela s'arrange, et se forcer à sourire. Mais tout ce qui touchait Gabriel l'affectait, et elle en pouvait pas faire semblant, quand il était mal, elle se sentait mal inconsciemment elle aussi. C'était complexe, ou alors elle tenait peu être vraiment à lui, réellement.

La jeune fille lui demanda ensuite comment il avait trouvé la soirée, sa réponse assez blasant ne fit que confirmer ses doutes, elle accéléra l'allure, se dépêchant d'arriver au septième étage, cette fois ci, c'est elle qui resta silencieuse. Elle se mit à penser au bal, pour elle c'était un merveilleux souvenir, le couronnement, la danse, tout ses amis réunis, elle ne pouvait demander plus, même si son argent monumental lui permettait de tout avoir, et de tout réaliser.

Ils arrivèrent enfin devant la fameuse salle sur commande, Chloé demanda intérieurement un lieu confortable, ou il y aurai plusieurs canapé et fauteuil, une cheminé avec un feu allumé, une petite table avec quelques gâteau, et une décoration moderne et artistique. Bon, cela suffirai pour parler tranquillement. Quand la jeune fille ouvrit les yeux, la porte se formait déjà sous leur yeux, elle n'eu qu'a poser sa main sur la poigné, et entrer, faisant un jolie sourire à Gabriel. Elle lui avoua cependant, à propos de la salle :

"J'ai fait à la va vite"

Oui, qu'il s'attendais pas à un palace ou un château, sous le prétexte qu'elle habitait dans des demeure de la taille du quart de Poudlard, c'était une pièce studieuse, finement décoré, avec des canapé confortable et des .. ou sont les gâteau ? Ah oui, mince, Chloé se souvint que la salle sur commande n'offrait pas de nourriture. Hum.. une main sur sa baguette, une formule informulé discrète, voila, quelques confiseries apparurent. Elle se tourna vers le jeune homme, et ferma la porte derrière eux, afin que personne ne vinrent les déranger :

"Maintenant, je peux te parler.. on s'assoit ?"

Il était perdu dans ses réflexions, fidèle à son habitude. Mais lorsqu'il tourna la tête, il constata que Chloé avait également l'air pensive. Étais-ce à cause de lui? Il l'ignorait...mais pourquoi se prendre la tête avec des futilités de ce genre? Oh, il se demandait bien de quoi Chloé désirait parler, et se questionnait légèrement mais...Disons que le serpentard n'avait jamais été de nature anxieuce alors...Ils arrivèrent enfin à la salle sur demande , commandé par Chloé et ouvrant la porte, le vert et argent eu le plaisir de découvrir une pièce d'on l'ambiance était agréable. Sans lâcher la taille de la jeune fille, il se dirigea vers l'un des divans où il pris place, l'air toujours aussi distrait.

Bon, la gryffondor voulait discuter, mais de quoi? Avait-il fait quelque chose qui lui avait déplu? Dans ce cas-ci, il ne voyait vraiment pas...Car malgré le fait qu'il ait été distant, il lui as semblé avoir fait tout son possible la veille...Du moins, c'est ce qu'il pensais. Prenant un air sérieux, il demande :

- Qu'es-ce qu'il y a, Chloé?

Bah ouais...il allait tout de même pas attendre des heures, à se demande ce qui se passait. D'autre plus que cette fois, c'était Chloé qui semblait troublée, et non l'inverse. Ce qui le dérangeait énormément,

Chloé s'installa sur le divan le plus proche, toujours dans les bras de Gabriel, dont elle se dégagea un peu afin de bien voir le jolie visage du serpentard, elle le regarda un instant, se demandant comment tourner sa question, comme lui dire qu'elle avait remarqué qu'il n'allait pas bien hier soir, et surtout qu'elle en était la cause, et les quelconques conséquences ? Sait-on jamais...

La jeune fille faisait rebondir ses doigts contre le coin du canapé dans un geste anxieux, stressé, elle hésita longuement, mais au moment ou allait enfin lui demander ce qu'il se passait, Gabriel la devança et la questionna doucement. Merde. Bon, pas grave, de toute façon elle ne l'avait pas emmené ici pour rien, alors il fallait bien qu'elle se lance, et puis elle avait confiance en lui, elle se sentait bien avec lui, il n'y aurai pas de tabou entre eux, du moins elle l'espérait. Elle releva alors ses grand yeux vert et lui demanda doucement, plongeant son regard dans le sien :

"Je commence à te connaître maintenant tu sais.. et malgré la soirée merveilleuse que j'ai passé hier soir, j'ai bien vu qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas, que tu était.. troublé par quelque chose.. je me trompe ?"

Il y avait plusieurs solution, soit elle se trompait complètement, mais cela m'étonnerai, elle savait reconnaître les expression de son homme, aussi dur et froide soit t telle. Ou bien, il nierai totalement, disant que tout va bien et restant faire face à ses problème seule. Ou encore pire, il prendrai peur de voir qu'elle commençait à le connaître vraiment bien et il la larguerai ne supportant pas qu'une autre personne que lui puisse aussi bien le comprendre ou le lire comme un livre ouvert.. Chloé commença à regretter ses paroles. Ah non, elle s'empressa de chassé ses pensées despotiques de son esprit et se concentra sur les yeux océan du jeune homme, attendant une réponse franche et honnête. Elle était là pour l'aider, lui et lui seule.

Aie. Ce n'était pas vraiment ce à quoi il s'attendait...Remarque, ça ne posait pas un immense problème. Il avait toujours sût en s'engageant avec Chloé qu'il devrait un jour lui ouvrir une partie de sa vie, lui parler de la maladie de sa soeur. C'était normal, nah? Et pour une fois, ça ne le dérangeait pas énormément. Car il n'y avait rien de gênant dans le problème d'on était atteint sa jumelle. Rien qui pourrait causer des dommages sérieux dans sa vie si jamais c'était dévoilé, en faite. Certes, il devait marcher sur sa résolution qui était de ne jamais se confier à quiconcte, mais ça ne voulait rien dire. Ce n'était pas une simple phrase qui allait faire en sorte que Chloé connaisse son passé. Non pas qu'il désirait lui cacher certaines choses...Disons plûtot que pour l'instant, il préférait garder une certaine réserve. C'était normal, nah? Le jeune homme se protégeait.

Pourtant, à la première phrase de la jeune fille, il ne pût s'empêcher de sourire. Elle pensait le connaître, vraiment? L'adolescente serait sûrement surpris d'apprendre que le jeune homme était un peu trop complexe pour être saisi aussi rapidement. Certes, il avait sûrement paraût troublé la veille pour que celle-ci s'en apperçoive. mais c'était normal. C'était une réaction complètement humaine. Il commença à dire:

- Chloé...tu ne devrais pas t'inquéter pour moi.

Ce qui était vrai. D'autant plus que Gab avait toujours quelque chose qui le tracassait alors...Il continua néanmoins :

-Mais si tu veux vraiment savoir, c'est à cause de ma soeur. Elle à fait une rechute dans sa maledie hier soir, et elle avait failli y passer.

Faut noter l'emploi de l'imparfait là. Car si sa jumelle avait en effet, failli mourir, elle était maintenant rétablis...

Chloé eu un sourie à la réponse de Gabriel, même si il avait perdue l'habitude qu'on s'inquiète pour lui, il fallait qu'il s'y réhabitue, car la jeune fille ne supportait pas de voir ses proches angoissé et généralement elle faisait tout ce qui était en son pouvoir pour les aider, mais si il s'agissait en plus de son petit ami, et plus particulièrement de Gabriel, cela valait x10. Elle posa sa main sur celle du jeune homme et lui serra un peu plus fort en guise d'affection.

Mais la jeune fille perdit les couleurs de son visage, et son sourire par la même occasion,; à l'aveu du jeune vert et argent, ainsi donc il avait une sœur, et elle était malade. Gravement malade, car pour employé le mot "rechute", cela signifiait pas mal de chose, et pas forcément très réjouissante, au contraire. Mais apparemment elle était tirée d'affaire, mais pour combien de temps, avant une nouvelle "rechute".. non cela n'allait pas bien du tout.. Chloé essaya d'articuler doucement, lâchant la main du jeune homme :

"Je suis désolé."

Que dire de plus.. ?

Que faire ?

Ah si, faire elle pouvait, Chloé entrouvrit les lèvres et lui demanda à nouveau :

"Ta sœur est suivit par un bon médecin ?"

Chloé était la fille la plus riche du monde des sorciers, avec ses parents, ainsi donc elle connaissait les meilleurs médecins et pouvait avoir recours aux meilleurs traitements qui coûte aussi cher qu'une maison au bord de la mer, cela n'était absolument pas un problème pour elle, alors si elle pouvait aider à quoi que ce soit.. et non elle ne lui laisserai pas le choix de toute façon.

Désolé? Très utile ce qu'elle venait de dire là...Même si Gab voyait bien que Chloé n'était pas nécessairement heureuse de ce qu'elle venait d'apprendre, il ne comprenait pas sa réaction. Après tout, c'était sa soeur, pas la sienne. Ce n'étais pas nécessaire d'en faire tout un plat, nah? Et puis, ce n'était pas comme si elle décédée! Elle vivait et elle allait s'en sortir. N'étais-ce pas le plus important? Il ouvrit donc la bouche, prêt à répondre, sans être conscient que son propre comportement et sa manière de pensée témoignait nettement du fait qu'il n'avait pas l'habitude de se confier aux autres.

-Ce n'est rien.

Un bon médeçin? Bah, elle avait le minimum. À savoir, le mieux qu'il pouvait se permettre de lui payer. Le seul fait qu'il soit capable de fournir assez d'argent pour son traitement était déjà un miracle en soi alors...Et puis, il faut dire que sa soeur restait en permanence chez sa tante, allant à St-mangouste lorsque son état empirait ou pour consulter quelqu'Un. Il répondit donc:

- Elle à ce qu'il lui faut, je m'occupe personnement des dépenses.

Aie. Pourquoi avait-il mentionner ce fait? Ça lui apprendrait à trop parler, aussi! Pourquoi avait-il commençé cette fâcheuse habitude?

Chloé était assez gênée, elle ne savait pas vraiment quoi dire, à part qu'elle était désolé et qu'elle esperait de tout coeur que sa soeur trouverai au plus vite le chemin de la guerison, mais cela tout le monde devait le dire à Gabriel, et cela devait plus l'embetter qu'autre chose, elle se contenta hochez tristement la tête, en écoutant ce que le jeune homme avait à lui dire. Puis un sujet vient titiller la jeune fille, ainsi c'étit e jeune serpentard qui assurer tout seule les frais des traitements médicaux, comment es qu'il faisait ? Surtout que sa soeur avait l'air d'avoir une maladie assez grave, donc cela signifiait traitement lourd, et donc par consèquent très cher. Là elle pouvait l'aider, elle proposa, presque instinctivement :

"Tu sais.. je peux t'aider cela! On peux lui trouver le meilleur medecin, les meilleurs traitements et touts les remèdes les plus sofitisqué et les plus cher.. mais les plus efficace. J'ai beaucoup trop d'argent, tu le sais, ma famille est une des plus riche de presque toute la génération de sorcier du moment.. je payerai tout les frais, et toi tu pourra souffler un peu ?"

Elle ne le faisait ni par pitié, ni par obligation, non elle avait envie d'aider son petit ami, c'était normal non ? Cela lui faisait plaisir, si il avait des problème, elle se devait de l'aider, et elle le ferai. Toujours. Il devait accepter, elle ne lui laisserai pas le choix.

"Gabriel, cela pourrai arranger beaucoup de chose. Et puis mon argent pourrai enfin servir à quelque chose, autre qu'une paire de chausure ou d'une robe hors de prix. "

Chloé lui fit un jolie sourire, remplit de tendresse, et elle prit sa main doucement, plongeant son regard dans le sien.

L'aider? Aux paroles de la jeune fille, le visage du ténébreux serpentard se crispa. Il avait toujours détesté l'utilisation de ce mot. Non pas qu'il n'aimait guère la charité et la générosité, mais cette mention était bien souvent suivi de l'avoue de la faiblesse d'une personne, de son incapacité. Dans son cas, son manque de richesse. Oh, il n'en avait jamais eu honte. Il travaillait honnêtement, comme tout jeunes de son âge...à la seule différence qu'il voulait obtenir deux boulots et que les gallions amasés n'allaient pas dans ses poches. Et alors? Au moins, il faisait des efforts. Lui, il connaissait les diffultés que pouvaient lui apporter la vie. Gab avait été formé dans les épreuves, pas dans l'abondance. Non, il n'accussait pas Chloé d'être une enfant gâté. Au contraire, sa proposition était très généreuse. Mais il ne pouvait pas accepter. C'était ainsi. Par orgeuil, tout simplement. Mais que voulez-vous, les mecs sont ainsi!

- Nah, merci Chloé, mais ça ne sera pas nécessaire.

Oui, elle avait raison, cela pourrait arranger bien des choses. N'empêche, le refus était la seule option possible. D'autant plus que ce n'était pas une solution très fiable...qu'ariverait-il si lui et Chloé romperait? Les traitements fabuleux de sa soeur cesseraient, les mettant dans une situation encore plus compliqué? Nah, sa décision était la bonne. Valait mieux se contenter de la base, mais avec certitude que rien ne s'interrompera. Et puis, sa frangine avait bien survécu jusque-là! Ses rechutes étaient, après tout, assez rare, donc pas la peine de s'inquéter.

Chloé s'y attendait un peu à cette réponse, après tout c'était un mec, alors demander de l'aide, d'une fille en plus, cela bloque un peu. Mais elle ne le laisserai pas aussi facilement, si sa sœur avait une maladie vraiment grave, elle avait besoin d'un traitement efficace et qui marche réellement. Et pour cela, Gabriel allait devoir laissait son orgueil de mal de côté, au moins pour une fois.. La jeune fille revint donc à l'attaque, d'une voix assez déterminée :

"Gabriel, tu ne peux pas attendre.. ta sœur va faire des rechutes constamment, elle ira mieux, puis mal, puis mieux, puis mal.. tu le sais très bien. Il faut qu'elle soit suivit par de véritables professionnels, qu'elle soit privilégié, là on sera sur qu'elle sera guérit pour la vie.."

Ces mots étaient assez durs, mais il fallait ouvrir les yeux du jeune Serpentard, si jamais il arrivait quelque chose à sa sœur, il serait complètement détruit, et tout sera trop tard. Il fallait agir, maintenant. Chloé poursuivit son discours, toujours ses yeux plongé dans ceux du jeune homme, et continua sans ciller :

"Je ne te demande absolument rien en échange, et peu importe ce qui se passe entre nous, je continuerai de payer jusqu'au bout de sa guérison. Ne pense qu'à elle Gabriel, a rien d'autre qu'elle. C'est une chance superbe pour elle.. "

Chloé sentit ses yeux briller, elle tenait vraiment à ce que Gabriel accepte, et si il était intelligent et consciencieux pour sa sœur, il le ferait.

Cette fois, Gab serra le poing. Qu'es-ce qu'elle en savait? C'était sa soeur, pas la sienne. Il connaissait sa maladie mieux que quiconcte et personne n'allait lui dire quoi faire! Comment Chloé pouvait-elle insinuer, ne serai que par des sous-entendues, qu'il mettait la vie de sa jumelle en danger par son obstination? Il savait très bien ce qu'entraînait la maladie de sa soeur et ses fameuses rechutes, il n'était pas idiot après tout! Il n'était pas sans savoir qu'elle avait risqué de mourir. Il l'avait vu au plus faible de sa forme, dans l'incapacité de ses moyens. Il savait ce qui risquait de ce passer. Alors pourquoi Chloé lui remettait-elle devant le nez ce qui était déjà évident?

Elle voulait l'aider, d'accord. Mais c'était sa soeur bon sang! On ne pouvait pas le laisser tranquille sur ce sujet? C'était des promesses, juste des promesses. Il faisait confiance à la gryffondor, mais en lui, persistait cette nature pessimiste...Ce fût donc avec rage qu'il dit:

- C'est ma soeur! Qu'es-ce que t'en as a faire qu'elle survivre?

Aie. Sa propre phrase lui fît l'effet d'un coup de poing à l'estomac, interrompant tout le processus de la colère. Il se leva d'un bond, se mettant à marcher à travers la pièce comme un lion en cage. Ce fût seulement au bout de quelques secondes qu'il dit:

- J'suis désolé Chloé...je...je pense que je débloque.

Une semaine. C'était le temps que ça avait duré avant qu'il ne se fâche. Comme quoi on ne peut pas faire confiance à un serpentard. Préoccupé, le jeune homme se dirigea vers la porte...

hj: Sorry, pas d'inspi.

Chloé observa le jeune homme surprise, il c'était levé, le visage endiablé, il était en colère cela crevait les yeux, il l toisa d'un oeil presque mauvais avant de lui balancer des mots enragés, pas très facile à entendre, en pleine figure. Il fit les cents pas avant de lui avouer qu'il était désolé. Cela étonna presque la gryffondor, le jeune homme changait avec elle, il était plus doux, plus attentionnée.. bon d'accord ce n'était pas le meilleur exemple ainsi mais il y a un mois, il ne se saurai jamais escuser en ayant peur de blessé la belle par des mots un peu cru.

Le bal de la St valentin c'était déroulé il y a une semaine, es que depuis qu'il avait avait appris la nouvelle il avait sulement une fois craqué ? Si c'était la première fois, c'était bon signe, il fallait qu'il évacue toute sa douleurs et ses craintes sur la maladie de sa soeur. Plus facile à dire qu'à faire nan ? mais elle lui offrait une chance unique, le meilleur tritement que tout l'univers des sorciers pouvait lui offrir.. il fallait qu'il accepte. Elle répondit doucement alors qu'il faisait encore les cents pas :

"Pense ce que tu veux, je m'inquiète pour ta soeur maintenant et tout comme toi je souhaite sa guérison! Je ne te remet pas en cause Gabriel, tu t'es occupé d'elle pendant des années, et tu as du lui sauver la vie beaucoup de fois. Tu as l'air de tenir à elle plus que tout au monde.. Mais tu sais combien sa maladie est grave, et tu sais très bien que si elle peut recevoir le meilleur traitement au monde, il faut qu'elle le teste. Elle pourrai être guérit en quelques semaines, et lavé entièrement du virus.."

Le jeune Serpentard, était toujours aussi tourmenté, le visage à nouveau fermé comme lors de leur première renontre, on aurai dit un visage de glace, un mur de pierre.. Aucune émotion ne sortait. Mais la colère et la peur était sans doute ce qu'il le rongeait le plus. Il se dirigea vers la porte, sans se retourner. Chloé sentit al colère montait en elle peu à peu, elle voulait l'aider et elle le ferai, par n'importe quel moyen, elle se leva comme une pile electrique et el rattrapa à mi chemin, elle lui pris le bras et le fit pivoter pour le forcer à la regarder, elle lui dit froidement, pour le faire réagir :

"Ah non! Tu vas rester ici.. J'ai un hibou à envoyer et ta soeur sera transferer dans le meilleur hôpital demain! Il faut que tu me dise ta réponse .. Maintenant! Il faut agir, tu ne peux pas fuir.. la question reviendra sans cesse."

Elle posa ses mains sur les épaules du jeune homme et se rapprocha un peu plus de lui, elle continua dans un souffle :

"Tu es enervé.. c'est ton point sensible.. alors crie, pleure, fait ce que tu veux mais évacue toutes pensées négatives de toi.. défoule toi sur moi.."

Ses yeux emeraude vinrent croiser ceux du beau et ténébreux Serpentard :

"Gabriel, fait moi confiance.. "

Hj: Sorry du retard! Pour me faire pardonner, j'ai décidée de faire plus long que d'habitude

« I Want to Be Perfect, But I’m Just A Man
A Kid Who Are Not Finish His Life »

Serrer les dents. Oublier le présent. Le passé. Le futur. Oublier que demain se construira de tous ses éléments, dans un mélange peu enthousiasmant. Fermer les yeux. Pour ne pas perdre le contrôle, déraper à nouveau sur des chemins sinueux qui ne sont pas les siens. Clore son esprit, l’espace de quelques secondes pour que les pensées emplis de mélancolie ne franchisse pas le seuil de son cerveau, qui traitera les informations pour injecter dans ses nerfs cette colère sans sens. Respirer profondément. Pour ne pas dire des paroles qui ne devraient jamais franchir sa bouche, tellement la cruauté peut parfois être plus attrayante que la vérité infligée par la douleur.

Gabriel était immobile, devant la porte. En silence, il écoutait les paroles de la jeune, sans être attentif.. Ses sens n’étaient plus en activités. Désactivés. D’un simple ordre mental. Pfffoout. Plus rien. Les signaux ne captaient plus cette voix mélodieuse qui disait des paroles trop censés. Ils s’occupaient seulement du plus important. Digestion. Respirer. Ouvrer les valvules. Fermer les valvules. Souffler. Nouvelle digestion. Fermeture de l’Ouï. Nah…ça ne fonctionnait pas ainsi. Malheureusement. Car à ce moment précis, le serpentard aurait préféré faire la gestion de son propre corps, plutôt que de sa propre vie. Les phrases de Chloé avaient en effet déserté ses oreilles. Mais en faite, elles avaient pénétré directement dans son cœur, laissant des sillons de rage et de tristesse sur leurs passages. Obligeant des sentiments enfouis sous son indifférence à refaire surface.
Respirer à nouveau. Fermer les yeux.
Ce n’est qu’une étape parmi tant d’autre Gab, courage…

Cette fille était géniale. Car sans le savoir, elle avait trouver le point faible de notre ami le grand ténébreux. À savoir sa sœur. Oh, il avait bien d’autres secrets…Mais celui-là faisait partie de ceux qu’il gardait profondément en lui, de peur de se nuire en se dévoilant davantage que nécessaire. Était-ce pour cette raison qu’en ce moment précis, il était en colère contre la gryffondor? Parce qu’elle avait réussi à percer une des couches protectrices qui l’entourait? Oui. C’était stupide, il le savait. Pourtant, Gab ne pouvait s’empêcher de sentir vulnérable. Cette adolescente l’envoûtait. Et pour un homme qui tient à garder ses mystères et son indépendance, c’est une très mauvaise chose. D’autant plus qu’elle avait raison, il le savait. Sa sœur avait besoin des meilleurs traitements possibles. Le cas échouant, elle pourrait mourir. Il avait fait de son mieux. Était-ce le moment de lâcher prise? Chaque homme à ses limites, il n’était pas différent des autres. La jeune fille venait de le saisir, l’obligeant à se retourner. Il obtempéra, se contentant de plonger son regard dans celui de Chloé. Mais alors que celle-ci parlait, des souvenirs traversèrent sa mémoire…

Flash-Back

C'était en juin, alors que Gabriel atteignait ses 15 ans. Lui, sa sœur et sa tante était en vacance à Venise. C’était le premier et le dernier voyage du jeune homme.
M.Soleil se levait en douceur sur la cité de l’or, relayant en second plan l'obscurité et ses monstres légendaires. Il faisait refléter dans le ciel des teintes orangées et rougeâtres, mélange hétérogène d'onde électromagnétique se diffusant dans le regard époustouflé des passants. Les taxi étaient déjà forts actifs, transportant ceux d'on l'appel du travail était encore plus fort que le sommeil. D'autres marchaient dans les rues, observant le paysage de ce même air émerveillé qui ne quitte jamais leurs visages, ne serai-ce qu'après une dizaine année à Beverly.
Plus loin, dans un quartier résidentiel, un immeuble s’élevait sur plusieurs mètres. Il était fait de briques jaunes et des tourelles ambrées se présentaient à chacune de ses extrémités. Sur sa façade, un dessin avait été peint, vestige d'une civilisation plus ancestrale. Quatre étages. Deux appartements. Dans le second, un jeune homme était accoté à la fenêtre, l'air mélancolique.
Cheveux en batailles. Yeux envoûtants, cernés par la fatigue. Regard profond, quasi dérangeant. Grand, élancé. Bras puissants et musclés. Visage mal rasé, barbe vieille de quelques jours, lui conférant un air faussement désinvolte.Voilà la description idéale qui pourrait être faite de lui, en ce moment même. Torse nu, l'homme regardait la ville comme on regarde vers l'avenir, sans toutefois se douter que son passé puisse entraîner d'irrémédiable changement dans son présent. Il serrait les poings et les dents, admirant ce qui avait autrefois été pour lui une patrie. Venise. La ville chétive des Italiens. Celle-ci l'avait accueilli les bras ouverts, dans sa plus frivole jeunesse. Maintenant, elle le reprenait avec dédain, désireuse de l'entraîner dans les fleuves de l'ivresses et des mirages comme elle amenait dans son lit tous ces marins échoués.

Il soupira et tira les rideaux aux motifs orientaux, sans un regard pour ce paysage qu'il avait déjà admiré. D'un pas traînant, il se dirigea vers la salle de bain, non sans avoir jeté au préalable un coup d’œil derrière lui. Gabriel était à l’hôtel depuis quelque chose, dans son propre « logement ». Sa tante était dans la chambre en dessous et sa sœur logeait avec lui pendant la durée du voyage.Alors, d'ici là, il se montrait assez prudent quant à ses déplacements dans l'habitacle. Ce fût donc après avoir prit maintes précautions, d'on celle de verrouiller la porte, que l’homme ouvrit les robinets de la douche, se glissant dans celle-ci en tentant d'ignorer le désagréable frisson qui avait saisi son corps devant la froideur du lieu. Il ignorait qui était la personne à l'origine de la décoration de cet abri, mais de toute évidence, elle avait mauvais goût. Tous les murs étaient tapissés d'un horrible motif bourgogne et des tapis de couleurs différentes couvraient les planchers. De plus, divers cadres représentant les différentes villes du monde servaient de décoration. Si il aurait été majeur, Gab aurait sans doute remédier à ce problème depuis longtemps, en lançant un ou deux sortilèges.

L'eau coulait sur son corps, le purifiant de toutes souillures. Ses pensées sombres, son énergie négative et son narcissisme s'évaporèrent par le tuyau d'échappement, avec ses impuretés qui s’accumulent sur les pores de notre peau. Il soupira à nouveau et tendit la main pour prendre le shampooing. Qu'allait-il faire aujourd'hui? Une bêtise. C’était une intuition, tout simplement. Au loin, un cri déchira le silence apaisant qui s’était installé. Rapidement, il noua une serviette autour de sa taille et enfila en vitesse un pantalon de jean et un T-shirt couleur bourgogne, puis il se précipita vers la chambre de sa jumelle. Celle-ci était étendue sur le sol, immobile. C’était la première manifestation de sa maladie.

Fin du Flash-Back

Depuis ce temps, Gab avait toujours été une ombre de lui-même. Oh, d’autres événements l’avaient conduits à être ce qu’il était aujourd’hui…mais ce souvenir l’avait marqué. Et même là, alors que Chloé disait des paroles qui lui paraissait insensées, ce voyage manqué lui revenait en mémoire. Debout devant lui, la belle brune lui demandait courageusement de se défouler sur elle, si il était en colère, lui disant ensuite de lui faire confiance. Sa décision était prise. Toute trace de rage était disparu, emporté par la logique qui s’empare parfois des humains. Il eût un sourire, un véritable. Il leva la main et d’un geste tendre, la porta sur la joue de la gryffondor, non pas pour la gifler mais pour caresser celle-ci. Étrange. Car suite à cette situation, il avait maintenant deux certitudes. La première, qu’il allait accepter la proposition de la jeune fille. C’était le mieux qu’il pouvait souhaiter pour sa jumelle. La seconde…disons que ça restait un secret, pour l’instant. Avec la même tendresse, le serpentard déposa un léger baiser sur le front de la rouge et or et dit enfin :

- Chloé…le seul fait que je t’ai parlé de ma sœur est un signe de confiance.

Il marqua une pause, prit le temps de réfléchir à ce qu’il allait dire. Fidèle à son habitude, le vert et argent n’était pas avare sur les paroles. Pourtant, ce ne fût qu’au bout de quelques secondes qu’il dit :

- Le choixpeau ne s’est pas trompé. Tu as bien la noblesse et la charité nécessaire pour mériter ta maison quant à moi…

Deux phrases en deux minutes. En période critique! Décidément, il recommençait ses records….Ennuyé, le serpentard se recula de quelques pas, observant le visage de la brune avec un air impénétrable. Il baissa finalement les yeux, achevant sa phrase :

- Quant à moi, je suis orgueilleux et égoïste, comme mes compatriotes. Je te prie de pardonner ma nature impétueuse.

Ça paraît idiot, dit comme ça. Mais pour un homme normal, avouer ses faiblesses est une chose extrêmement difficile…Alors vous imaginez pour Gabriel, ce fier serpentard qui ne dévoile jamais grand chose de sa personnalité?

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